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il y a 5 ans
Marie et Amélie n'étaient censées ne devoir passer qu'une heure dans cette maison isolée au milieu des bois...
Les deux belles étudiantes avaient dû utiliser leurs vélos pour faire les 7-8 kilomètres séparant entre leur ville et le petit cottage dans la forêt où vivait Madame Martin. Cette veuve entre deux âges, grande amie de la mère de Marie, avait accepté l'idée d'une interview par les deux filles. C'était pour un dossier universitaire : l'évolution de leur ville à travers les années. Marie avait proposé ingénument à son amie de la choisir puisqu'elle ne connaissait pas de personne plus vieille dans le coin. Marie était une grande et maigre blonde. Son amie Amélie était brune, plus petite et plus ronde mais elle attirait autant l'attention que son amie.
Noémie Martin était encore bien conservée pour ses 45 ans. Elle était encore fine mais musclée, et conservait les traits de sa jeunesse malgré quelques rides prononcées. Mais elle se comportait désormais comme une vieille femme, donnant des gâteaux et du thé à chaque personne venant briser sa solitude pour un moment. Marie pensait qu'elle avait un peu "perdu la boule" depuis la m o r t de son mari dans un accident de voiture.
Fatiguées par leur parcours en vélo, les deux filles acceptèrent poliment la nourriture et la boisson avant seulement de commencer l'interview. Après avoir bu la moitié de sa tasse de thé Marie attaqua:
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OK Madame Martin
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Oh, ma chère Marie, vous pouvez m'appeler Noémie, dit d'un beau sourire la veuve.
-
D'accord Noémie, pouvez-vous nous dire comment était notre cité durant votre propre e n f a n c e ?
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Bien, je me souviens que...
Marie vit qu'Amélie notait les réponses sur son propre cahier. Heureusement parce qu'elle ne se sentait pas capable, la fatigue devenait trop importante. Elle n'était même plus capable de suivre seulement l'interview. A ce moment elle craignit d'être remarquée par les deux autres femmes. Madame Martin pourrait mal le prendre.
-
Marie, que se passe-t-il? demanda celle-ci.
-
Je ne sais pas, répondit Marie d'une voix pâteuse.
Elle eût encore le temps de voir Amélie boire une grosse gorgée de son thé durant cette petite interruption mais ensuite ses paupières devinrent trop lourdes pour elles. La dernière image qu'elle put voir avant de sombrer était celle d'Amélie dormant aussi, et à côté Madame Martin qui avait un sourire étrange.
Marie se réveille plus tard, douloureusement. On l'avait allongée entre temps sur un lit. Elle aurait voulu pouvoir se lever, mais elle en était incapable.
Des liens de cuir la retenaient par les bras et les jambes au meuble, la ligotant solidement. Effrayée, l'étudiante voulut crier mais quelque chose avait été placée dans sa bouche, une sorte de chiffon maintenu par du ruban adhésif gris enroulé tout autour de sa bouche.
Elle se rendit compte seulement alors qu'on l'avait encore déshabillée, puis identifia ce qu'était le chiffon dans sa bouche. Elle se mit à secouer la tête et à essayer de cracher sa propre culotte mais le bâillon était trop bien installé.
Amélie était séquestrée dans la même situation sur un autre lit, voisin de celui de Marie. Elle se débattait aussi et plairait. Les deux étudiantes se demandaient ce qui leur était arrivé. Elles étaient retenues dans une sorte de cave, sans la moindre fenêtre aux murs.
La porte de leur cellule fut déverrouillée par Madame Martin. La "vieille lady" semblait avoir bien rajeuni de par son attitude plus souriante et excitée. Elle avait ramené avec elle un sac de sport.
"Est-ce que vos lits son confortables, jeunes filles?" elle demanda sur le ton le plus ironique possible.
Les deux jeunes femmes ne pouvaient répondre qu'avec des gémissements. Marie espérait qu'il ne s'agisse que d'une mauvaise blague, une très mauvaise. Elle aurait voulu lui demander ce dont il s'agissait et qu'est-ce que la veuve allait faire d'elles. Elle était d'autant plus surprise qu'elle pensait connaître Madame Martin. Il y a 15 ans elles jouaient ensemble et maintenant celle-ci lui tripotait les seins.
- J'ai attendu ce moment depuis tellement d'années, expliqua soudainement la k i d n a p p euse. Au lycée j'étais amoureuse de ta mère mais cette petite égoïste n'a jamais remarqué mon attirance. Malheureusement nous avons vite trouvé des hommes à épouser et sa beauté à elle s'est ternie rapidement quand tu es née. Alors j'ai attendu toutes ces années que tu grandisses jusqu'à devenir une belle jeune femme, le portrait craché de ta mère à l'époque. Et heureusement mon mari est m o r t dans cette accident avant que je n'ai eu à m'en débarrasser. J'étais de nouveau célibataire mais tu ne m'as pas remarqué, encore une fois comme ta mère. Alors quand j'ai découvert que toi et Amélie aviez une liaison..."
A ce moment du récit, Amélie grogna davantage et secoua se tâte pour nier ça. Elle se demandait surtout comment pouvait-elle avoir deviné.
- Ferme-la sale petite traînée. Tu pensais pouvoir voler le second amour de ma vie, mais ce ne sera pas le cas, lui cria Noémie Martin.
Elle ouvrit son sac pour en sortir un appareil photo. Elle l'utilisa pour prendre plusieurs photos de la pauvre Amélie pour l'humilier. Celle-ci rageait et se tordait sur son lit mais impuissante. De son côté Marie voulait supplier leur k i d n a p p euse d'arrêter ça.
- Bien j'ai pris assez de photos pour ton nouveau Maître. Il viendra demain pour toi, me laissant seule avec Marie enfin.
Les deux étudiantes se débattirent plus v i o l ement encore en entendant cette annonce. Amélie en particulier était frissonnante. Elle était effrayée d'être séparée de son amante, par un homme inconnu.
- Et maintenant ferme-la, ordonna Madame Martin.
Elle sortit de sa poche un vieux chiffon puant qu'elle appliqua sur le visage de sa rivale. Amélie ne pouvait contenir sa respiration trop longtemps et finit par respirer le C h l o r o f o r m e, pour s'évanouir pour la seconde fois de la journée.
- Maintenant nous sommes seules, ma chère Marie, annonça la k i d n a p p euse.
La pauvre blonde recommença à la supplier à travers son bâillon, espérant toujours qu'il ne s'agisse que d'un cauchemar. Mais madame Martin sortit de son sac sa collection de jouets...
Après une première "initiation", madame Martin abandonna pour le moment ses deux victimes. Marie pleurait toujours après ce qu'elle avait enduré de quelqu'un qu'elle avait toujours considérée comme sa tante. Pendant
ce temps Amélie réemergeait pour la seconde fois pour réaliser que ce n'était toujours malheureusement pas terminé pour elles. Les deux captives se regardèrent alors l'une l'autre piteusement, mais Amélie ne pouvait s'empêcher de trouver encore plus sexy son amie et amante dans cette situation. Elle était effrayée mais aussi excitée, ce qui la rendait honteuse. Elle aurait préféré se détacher seule, punir leur tourmenteuse et
jouer avec les deux autres femmes.
Au même moment Noémie Martin devait revenir à son plan pour garder sa désirée Marie pour toujours. D'abord elle jeta dans un marais très éloigné les vélos des jeunes femmes pour perturber les futures recherches. Et enfin elle appela leurs parents.
- Allo Sophie. Est-ce que tu saurais où est ta fille? Elle et son amie me font poirauter depuis des heures là. Elles étaient censées venir il y a un moment. Peut-être qu'elles ont trouvé le moyen de se perdre? ... OK Je vais chercher autour de ma maison. On s'appelle s'il y a du nouveau.
Durant la nuit, Marie et Amélie, toujours ligotées, pouvait entendre des voix depuis le rez-de-chausée.
-
Je suis désolée de leur avoir demander de venir ici, mentait de manière assurée Madame Martin. C'est la première fois que quelqu'un se perd dans ces bois depuis des années.
-
Tu n'as pas à t'en faire, c'est notre faute, lui répondait une autre voix féminine. On aurait dû se rendre compte qu'elles étaient incapables de lire une carte.
Marie se sentit très mal en reconnaissant la voix de sa mère juste au-dessus d'elle. Elle se mit à gémir pour se faire entendre d'elle.
"Mmmmmmmhhhh! Mmmmmmmhhhh!"
Amélie fit de même, en entandant également son père à elle parler sans le moindre soupçon à leur cruel k i d n a p p euse.
-
On devrait appeler la police maintenant, proposait-il.
-
Je ne pense pas que ce soit une bonne solution, répondit Madame Martin.
-
Qu'oses-tu dire Noémie? explosa la mère de Marie. Elles doivent être perdues dans les bois, frissonnant, effrayées et sans aide!
Elle ignorait la complète ironie de la situation, ne pouvant écouter les gémissements étouffés des deux captives.
- Je n'aime pas dire ça, mais elles doivent être en train de faire une fugue en ce moment. En ce moment elles pourraient être confortablement installées dans le lit d'une amie.
"MMMMMMMMMMHHHHH!" explosait Marie. "Pitié maman, ne crois pas cette psychopathe"
-
Que voulez-vous dire? demanda le père d'Amélie.
-
Je dois vous révéler quelque chose à propos de vos e n f a n t s. Asseyez-vous, c'est un peu dur.
Les deux captives étaient surprises par la tournure des événements. Elles espéraient que Madame Martin allait révéler ce qu'elle avait commis, que leurs parents allaient venir les délivrer et que le cauchemar allait cesser.
- Deux jours plus tôt quand allant en voiture en ville j'ai remarqué dans la rue Amélie et Marie s'embrasser l'une l'autre sur la bouche. J'aurais préféré en parler avec elles d'abord mais maintenant la situation a changé. Je crains une fugue.
Cette révélation choqua les parents conservateurs, mais surtout leurs filles, maintenant pleurant, sans espoir de se faire libérer. Après avoir appris ça, les parents avaient décidé d'aller fouiller la chambre de leurs filles pour trouver le moindre indice à propos d'une fugue, les laissant de nouveau seules avec un prédateur.
Mais avant de retrouver ses captives, Madame Martin reçut sur son portable un SMS, venu d'un numéro caché. Mais c'était ce qu'elle attendait comme message:
"Très jolie. Viens demain à 9h pour la réception avec l'argent"
Ce qui fit que en revenant dans la cave, elle annonça toute ravie.
"OK Amélie, ton nouveau Maître va venir bientôt te chercher"
Cette annonce peu après le départ de leurs parents désespéra les deux filles. Amélie pleurait maintenant. Il n'était plus question pour elle de s'exciter sur son bondage. Pour elle et
Marie une course contre-la-montre débutait. Durant toute la nuit elles combattirent frénétiquement contre leurs liens, essayant de se les retirer. Mais leur ligoteuse avait su leur donner des liens solides et impossibles à retirer vues leurs positions. Les deux étudiantes ne pouvaient même pas avec leurs mains écartées retirer le scotch de leur bouche.
A l'aube, madame Martin revient en rapportant un bandeau pour Amélie. La captive essaya de gagner encore quelques secondes en secouant sa tête frénétiquement mais le bandeau lui recouvrit vite les yeux complètement.
- On éteint la lumière, se moqua sa k i d n a p p euse.
Puis elle la chloforma à nouveau.
Marie avait dû assister à toute la scène, toujours impuissante. Elle vit Amélie se faire détacher mais seulement pour être glissée dans un grand sac de couchage. Puis Noémie utilisa un gros rouleau de tape pour la saucissonner à nouveau.
Amélie finit par se réveiller mais c'était trop tard. Elle ne pouvait pas non plus se libérer de ces liens là et quelqu'un venait pour elle qu'elle ne pouvait voir maintenant.
Marie le reconnut. Il s'agissait d'un de leurs camarades de classe. Elle ne se rappelait plus de son nom, seulement qu'il lui arrivait de fixer Amélie en cours ou en dehors, ce qui l'avait rendue très mal à l'aise. Il apportait une mallette.
-
J'ai votre argent, dit-il à Noémie Martin.
-
Bien. Tu te rappelles notre arrangement? Plus aucun contact à partir de maintenant entre nous, et surtout entre ces deux filles.
-
Bien sûr. Ne vous inquiétez pas madame, je ne laisserai jamais Amélie quitter sa future chambre.
L'entendant et reconnaissant sa voix, Amélie gémit de nouveau. Elle ne pouvait douter de ses attentions. Elle le supplia de la détacher. Mais lui et Noémie se saisirent d'elle, chacun par un côté. Marie se débattit et grogna mais son amie fut emportée et enfermée dans un coffre de voiture.
Durant le petit moment où elle se trouvait toute seule, Marie fut vraiment enragée. Elle n'allait pas laisser son amie partir comme ça, mais Noemie revint seule.
- Maintenant nous sommes seules ma chérie. Je vais t'apporter le petit déjeuner maintenant que la trainée n'est plus là.
Durant la journée Marie eût peu de répit. Durant ses rares moments obligés de liberté (pour marcher ou aller aux toilettes) sa nouvelle "compagne" la menaçait avec le fusil de son regretté Marie. Et le reste du temps elle dut expérimenter plusieurs positions de bondage. Après trois heures en hogtie en fin d'après-midi, Noemie se décida à la "remettre au lit", à la cave.
Mais Marie n'avait pas abandonné tout espoir. Sa Maîtresse avait oublié de resserer suffisamment l'un de ses liens de cuir. Donc après quelques minutes d'effort, la blonde réussit enfin à se détacher par elle même. Crachant son bâillon, elle comptait vite partir, mais pas avant une petite vengeance.
Noémie Martin était allée se coucher dans sa chambre. Endormie, elle ne pouvait pas s'apercevoir que sa captive venait de prendre un de ses tampons imbibés de C h l o r o f o r m e. Elle pensait avoir affaire à un cauchemar d'abord quand celui-ci fut appliqué sur son visage puis ce fut trop tard quand elle réalisa qu'elle avait commis une erreur...
Mme Martin dormait sur son lit. Elle ne s’est donc pas rendu compte que sa captive était en train de saisir un de ses propres chiffons imbibés de chloforme. Marie n’a pas hésité avant à la C h l o r o f o r m er…
Au petit matin Noémie se réveilla dehors, dénudée, menottée à un arbre. Elle aurait voulu crier mais Marie lui avait mis sa culotte dans sa bouche, maintenue avec plusieurs couches de duct tape. Savourant sa vengeance, elle contemplait sa k i d n a p p euse:
-
Maintenant je vais sauver Amélie, et ensuite seulement appeler la police pour toi. Alors amuse-toi bien...
-
Tmm vvmmm mmm pmmmmymm ssmm pmmmtmmt pmmmt! grognait Noémie, tout en se débattant, mais Marie lui tournait déjà le dos et courait en direction de la civilisation.
Ce ne fut qu'au crépuscule que la police vint la délivrer de son arbre, pour lui passer d'autres menottes...
Fin
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